
Vero Reinert
Mon objectif est de contribuer à la création d'un environnement positif durable pour les enfants les plus chaleureux que j'ai jamais rencontrés. En été 2019, j'ai fait du bénévolat dans la banlieue de Katmandou, la capitale du Népal. Par pur hasard, j'ai changé mon programme médical pour un programme social dans ce même orphelinat, car je ne pouvais pas supporter le sentiment d'être de peu d'aide à l'hôpital en raison de mon jeune âge et de mon inexpérience. C’était la meilleure décision que j'ai jamais prise ! J'ai fait des tas d'expériences positives. J'ai rencontré les âmes les plus pures, les cœurs les plus aimants et les sourires les plus éclatants dans ce foyer. De jour en jour, j'ai pris de plus en plus conscience des conditions misérables dans lesquelles vivaient mes sœurs et mes frères et cela m'a brisé le cœur. Dès mon retour à la maison, j'ai raconté mon aventure à quatre de mes amis et à ma sœur, et les cinq se sont tout de suite montrés enthousiastes à l'idée de construire un meilleur foyer pour les enfants. L'harmonie entre notre volonté d'agir a permis la fondation de Sharing a Smile. Entre l'école, la course, la boxe thaïlandaise et la musique, ma passion pour les voyages et l'aide aux autres m'a conduit au Népal, où le simple fait de sourire, de parler des cultures, de faire ses devoirs ensemble, de marcher jusqu'à l'école et de danser suffit à égayer la journée de certains. J'ai appris qu'il ne faut pas grand-chose pour être heureux si on n'a pas grand-chose, et je suis tombée amoureuse de cette idée. Néanmoins, les enfants de cet orphelinat n'ont pas encore accès aux droits humains fondamentaux, comme la nutrition. Et nous allons changer cela ensemble !

Alex Reinert
Grandissant dans un environnement dans lequel j'ai eu la chance de recevoir une éducation, d'avoir une assiette pleine à chaque repas, de voyager, de découvrir le monde en dehors de ma zone de confort et d’avoir été témoin du cercle vicieux de la pauvreté, une responsabilité s'est incarnée en moi ; aider les enfants, les femmes et les hommes, nés avec le même sourire mais des opportunités différentes que nous.
Après avoir terminé mes études de commerce dans trois capitales européennes, j'ai pris mes affaires et me suis immergée dans la culture népalaise tellement riche et aimante. Les sentiments, les leçons et les sourires que les petits rayons de soleil du foyer m'ont offerts sont impossibles à expliquer. Il est incroyable que moins les enfants ont, plus leur bonheur est pur.
Pourtant, l'éducation, une alimentation suffisante, l'hygiène et la sécurité sont loin d'être la normalité pour ces enfants innocents, qui rêvent de meilleures conditions.
Avec une passion pour l'entreprenariat, et un cœur que j'ai laissé avec les petits à Katmandou, je vais travailler dur chaque jour pour peindre un sourire sur leurs visages, et j'espère que vous aussi partagerez un sourire.

Brice Da Costa
Bonjour, je m’appelle Brice et je suis le gestionnaire d’événements de Sharing a Smile!
Je suis un étudiant de première année à l’université d’Amsterdam. Je suis également un chef scout, et j’aime les projets stimulants qui me sortent de ma zone de confort.
Parce que je suis né au Luxembourg, un pays développé, je n’ai jamais eu à m’inquiéter de quoi que ce soit. J’ai toujours eu accès à des soins de santé, à de l’éducation et à des aliments nutritifs. Je me considère très chanceux d’avoir tous ces avantages et de pouvoir fréquenter l’université.
Cependant, je crois que tous ceux qui se trouvent dans une position privilégiée devraient faire de leur mieux pour aider ceux qui sont dans le besoin, et c’est pourquoi je me sens obligé d’aider nos enfants au Népal. Je crois que l’aspect le plus important de notre travail est d’aider les enfants à recevoir la meilleure éducation possible, car c’est la façon la plus efficace de les aider à long terme. C’est pourquoi je suis particulièrement fier que sept de nos enfants puissent fréquenter l’université.
Ce projet peut parfois représenter beaucoup de travail, mais je ne m’en lasse jamais parce que je garde toujours les enfants à l’esprit et les sourires que nous pouvons partager avec eux.
Je crois que le meilleur sentiment du monde est de rendre d'autres personnes heureux !

Melvin Wagner
Hi, my name is Melvin:)
Je suis passionné par la médecine et plus précisément par la neurochirurgie depuis mon plus jeune âge. Je pratique de la gymnastique artistique, du kitesurf et du piano depuis une dizaine d’années.
De plus, j’aime me mettre à la découverte d’univers inconnus. J’adore voyager. En effet, voyager symbolise pour moi la grande aventure, celle qui laisse des traces dans l’âme. Néanmoins, durant mes multiples excursions aux quatre coins du globe, j’ai été confronté à des conditions de vies désastreuses. Le fait d’observer notamment des enfants au Madagascar chercher de la nourriture dans les ordures et les voir se battre pour leur survie m’a foncièrement ému et a provoqué en moi un imposant appel à l’aide mutuelle. Je ressens la profonde conviction que la pauvreté a été créée par l’homme et ne peut ainsi uniquement être supprimée par des actions communes d’humanité. Quotidiennement, notre planète produit suffisamment de biens afin de subvenir à nos besoins vitaux. Si chacun ne se procurait seulement ce qu'il lui faut et qu’il partageait ce qu’il a en trop, il n'y aurait pas de pauvreté dans le monde, et personne n'y mourrait d'inanition.

Lucia Vanetti
En étant élevé dans un environnement protégé, sans guerre ni problèmes financiers, en ayant accès à une éducation, on oublie rapidement le côté sombre de ce monde. Le lieu et le jour de sa naissance sont laissés au hasard et personne ne peut changer le milieu dans lequel on naît. Tous les enfants n'ont pas les mêmes chances. Les enfants privilégiés, qui ont accès à ces opportunités, doivent se battre pour ceux qui n'y ont pas accès. L'un de mes objectifs est de montrer à d'autres enfants et jeunes adultes qu'il n'est pas difficile de se lever et d'obtenir de l'aide. Il est important que chacun comprenne que, de par notre position privilégiée, nous pouvons faire beaucoup pour aider ! La joie de vivre de ces enfants, malgré les circonstances, me motive et me montre que nous avons déjà fait énormément avec peu de choses. Je vois notre Asbl comme un pont entre ces deux mondes différents. Notre objectif n'est pas seulement d'améliorer la vie des moins fortunés, mais aussi de sensibiliser les gens et de les informer sur la pauvreté sur le globe.

Johanna Beyenburg
Comme beaucoup d'autres enfants au Luxembourg, j'ai grandi dans un environnement protégé, où j'ai eu accès à une éducation gratuite et de qualité ainsi qu’à la sécurité sociale. En outre, mon environnement et mon éducation m'ont permis de poursuivre mes intérêts personnels et de créer mes propres idées concernant mon avenir. Je suis consciente du fait que ce n'est pas le cas pour de nombreux enfants et jeunes dans le monde, en particulier les jeunes filles. L'éducation des enfants me tient particulièrement à cœur, car je pense qu'il s'agit de la première étape vers un avenir financièrement sûr et indépendant, dans lequel les enfants peuvent poursuivre leurs rêves et leurs idées de carrière. J'aimerais contribuer au fait que ces enfants aient accès à l'éducation, à une alimentation et à une hygiène de vie suffisante.
Après avoir terminé mes études de psychologie, je rêve d'aider les enfants, non seulement d’assurer le respect de leurs droits humain, mais aussi de les éduquer dans le domaine de la santé mentale afin de lutter contre la stigmatisation concernant ce sujet.
Et finalement tous les membres réunis
